Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

Banana's characters sheets

admin
admin
Admin
Date d'inscription : 28/07/2021
Messages : 104
Offshore : 15580
https://crimenettest.forumactif.com
Þjalfi Gunnarsson28 ansMasculinSuédoisPansexuelGérant d'un refuge pour animauxYggdrasilGeysterLe rebelleFaire rentrer de l'argentÞjalfi est ce que l'on peut appeler dans le jargon, un putain d'aimant à merdes. Ca a toujours été le cas. Le gars a la poisse. S'il y a un trou dans le trottoir, il est fort probable qu'il tombe dedans. Au fil des années, cela lui a permit de se construire une certaine force de caractère. Qu'il glisse, dérape ou perde pour la 157ème fois consécutive à shifumi contre son petit frère, il le fait toujours avec le sourire. Cela s'applique aussi à sa vie amoureuse. Il ne sait trop comment, il se retrouve toujours collé aux pires cas qui finissent indéniablement par abuser de sa gentillesse infinie.

Parce que oui, trop bon, trop con c'est un peu son dicton dans la vie. Il aime aider les gens, ayant ces pulsions utopistes qu'il ramène toujours sur le plateau. De nombreuses fois, les gens ont prit avantage de cet aspect de lui. Certains le prennent pour un idiot de tomber systématiquement dans le panneau mais c'est ainsi qu'il est.

Cependant, après une discussion approfondie avec son petit frère, Sven, il a, depuis quelques années changé ce dicton pour un autre, un peu plus coloré. Que tu essayes de m'enfoncer un parapluie dans le cul, pourquoi pas... mais que tu essayes de l'ouvrir, c'est autre chose.

Depuis il se fait plus ferme, plus solide. Il pardonne moins et se montre plus méfiant. Il reste cependant fidèle à sa réelle nature mais il fait ce réel effort sur lui même. Le suédois n'est cependant pas qu'un utopiste malchanceux, il a bien d'autres facettes.

Sa loyauté est à toutes épreuves. Une fois qu'il s'implique dans quelque chose, il ne le fait jamais à moitié. A vrai dire, il ne sait pas comment ne pas s'impliquer à fond dans quelque chose (vous devriez voir l'état de l'appartement quand il se décide à faire le ménage, Marie Kondō n'a qu'à bien se tenir).

Cela fait de lui un utopiste réellement engagé qui dédie sa vie à essayer de rendre ce monde flingué un peu moins pire que lorsqu'il a posé le pied sur Terre. Les chemins qu'il prend ne sont pas toujours les bons, mais il les empruntes toujours avec les meilleurs intentions.

Au moins, il essaye.
Ne dit-on pas que les nordiques sont des géants ? Peut-être est-ce une vérité après tout. Du haut de son mètre nonante-quatre, sa tête dépasse souvent des foules. Ne lui demandez pas quelle est la température là haut, c'est une blague qui ne le fait plus trop rire depuis un moment maintenant.

Ses yeux bleus frise le stérotype une fois additionné à ses cheveux d'un blond presque platine et sa carrure de casi-bucheron. Il faut dire qu'il entretiens son physique, le gars. De part sa poisse légendaire, on le retrouve souvent avec un sparadrap sur la truffe, un bandage au poignet ou une quelconque atelle. Franchement, ça n'étonne même plus son entourage qui, souvent, ne s'enquière même pas de savoir ce qu'il y a bien pu lui arriver.

Il possède quelques cicatrices parsemées sur ses bras. Il a une histoire pour chacune d'entre elle. Et chaque histoire amène son lot de fou rire dans l'audiance en général. Pour n'en citer qu'une seule, la petite cicatrice qu'il a au coeur de la paume gauche, il se l'est faite en ouvrant une bouteille en plastique. Allez-y, riez, vous avez le droit. Il n'y a que Þjalfi pour se couper sur un bouchon en plastique de toute manière.

Il maintiens des cheveux courts pour des raisons pratiques... mais surtout parce que la fois où il ne s'en était pas bien occupé par manque de temps,... Disons qu'il â effacé toutes les photos de cette sombre époque. Quand Sven veut le taquiner, il ressort un vieux cliché imprimé de cette époque maudite. Pourquoi aime-t-il encore autant son petit frère, d'ailleurs ?

Il a le pied léger et sait utiliser sa carrure pour se montrer plus imposant qu'il ne l'est réellement. (un peu comme à la manière des chats qui font le gros dos pour paraitre plus dangereux, vous voyez ?)

Jamais vous ne verrez un poil de barbe sur son menton. Il aurait espérer que ses originies nordique lui permette de faire pousser l'une de ces sublimes barbes qu'il envie mais non... Il semblerait qu'il soit définitivement imberbe. Monde cruel!
1999HildaElle était médecin, il était avocat. Un amour de jeunesse chaotique auquel ils ne pouvaient s’empêcher de gouter continuellement, jouant le jeu des séparations et des réconciliations sous la couette. Un mauvais départ dans la vie que celui-là pour le poupon qui ouvre les yeux en cette froide nuit de décembre. Hilda pousse ses premiers cris alors que l’air remplit brutalement ses poumons. Elle pleure déjà, l’enfant. Elle a raison. La bague au doigt de sa mère épuisée n’est qu’un apparat de bienséance, une obligation pour ne pas perdre la face devant ses grands-parents.
Il n’y a jamais eu d’amour dans ce mariage.
2003ÞjalfiIls ont cru qu’ils pouvaient faire fonctionner les choses, que tout irait bien. Hilda avait resserré leur couple, n’est-ce pas ? L’annonce de la grossesse avait à nouveau déchiré le couple. Son père ne fut pas là quand le nouveau-né vit le jour. La réconciliation se fera… mais plus tard… quand l’époux indigne rentrera enfin chez lui, deux semaines plus tard et, trainant derrière lui le parfum d’une autre femme.2007SvenLe foyer semble stabilisé… Si seulement elle n’était pas tombée enceinte à nouveau. L’addiction est là. Malgré les salaires solides qui rentrent tous les mois, les soirées sont animées des lumières clignotantes des machines à sous et de leur brouhaha. Elle est en pleine partie de poker quand les contractions la saisissent. Il n’est pas là, trop occupé avec ses paris sportifs. Elle accouche seule, une fois encore.2013DisparitionUn bruit réveille l’enfant. Sa tête lui semble lourde. Tête blonde innocente ne pouvant comprendre la sensation lourde du médicament sensé le faire dormir d’un sommeil de plomb. Mais quelque chose se passe dans la maison. Ce n’est pas normal. Il descend de son lit. Il peine à rejoindre la porte du couloir qu’il entrouvre. La lumière l’éblouit un instant et il reste là. Ses parents parlent. Sa maman est triste.

Pourquoi maman est-elle triste ? Il s’interroge, il ne comprend pas. Il sent que quelque chose ne va pas. Du haut du palier, il voit sa sœur, endormie, les poings et chevilles liées. Elle est dans les bras d’un homme qu’il ne connait pas. L’enfant se frotte les yeux. Papa crie. Quand il fait ça, il préfère garder profil bas. Il retourne donc dans son lit. Il ferme la porte le plus silencieusement possible et grimpe dans les draps qui lui semblent si froid.

L’enfant tremblera pendant plusieurs heures alors que, en bas, ses parents s’appliqueront à simuler un kidnapping. Ils cassent, ils brisent, il défonce la porte d’entrée alors qu’elle va cacher l’argent sale de la vente dans un endroit sûr. Personne ne doit savoir pour leurs dettes. Personne ne doit savoir qu’ils ont vendu leur fille ainée.
2020JusticeRichesse déchue et tentative de s’en cacher ne font jamais bon ménage. En un souffle, tout peut s’arrêter en un rien de temps. Il était si jeune quand il a vu ses parents se faire passer les menottes. L’incompréhension l’écrase. La peur aussi. Et puis, on finit par lui expliquer. Après tout, il est presque majeur. Il a le droit de savoir, il a le droit de comprendre.

Fraudes, arnaques. Difficile de maintenir son train de vie quand on n’a été licencié. Difficile d’être chirurgien quand sa dextre tremble du manque d’alcool. Attendez… Sa mère avait été licenciée ? Il ne le savait pas. Combien de temps ? Oh. Fraudes, arnaques, voilà comment ils ont pu maintenir leur rythme de vie, se promettant de gagner le gros lot à une quelconque machine à sous.

Le procès n’est qu’une formalité à ce stade. Les preuves sont accablantes et l’opinion publique tranchée. Ils vont en prison, laissant Þjalfi et Sven seuls. Les regards se tournent ensuite vers eux. Que faire d’eux maintenant ?
2020TuteurCela fait des mois que ça dure. Des mois qu’il se bat. Il n’est pas encore majeur. D’ici peu, il le sera. Mais en attendant, il lui est difficile de faire valoir son droit de tuteur sur son petit frère. L’argent manque. Il doit prouver qu’il est assez stable que pour prendre soin de Sven. Il bosse comme serveur dans un restaurant. Il fait des économies en mangeant gratuitement sur place à la fin de son service. Il travaille dur. Finalement, le verdict fini par tomber. Il obtient la garde de Sven.

Ils ne seront pas séparés.
2028ÉtudesPas de diplôme, pas de qualification. Cela lui semble faire une éternité qu’il enchaine les jobs, en prenant parfois deux en même temps. Il touche à tout, faisant souvent les métiers les plus ingrats dont personne ne voulait réellement. C’était de venu une habitude de trimer autant. Parce que ça permettait à son petit frère de poursuivre sa licence.

Une licence abandonnée en cours de route. Cela n’étonne pas Þjalfi. En fait, il est juste fier qu’il ait été aussi loin. Peut-être, bientôt, il ne sera plus le seul à ramener un salaire à la maison. L’idée soulage déjà ses mains calleuses et ses épaules qui semblent tendues depuis près de huit ans maintenant. Ils vont bientôt pouvoir vivre comme une famille normale.
2028RefugeEnfin, il peut réaliser son rêve. C’est un gros projet mais cela fait tant d’années qu’il économise pour ça. Il n’attendait qu’une chose, que Sven aide avec les revenus du ménage pour se lancer dans sa folle aventure. Il observe les locaux autour de lui. Parfois, il se demande si sa grande sœur serait fière de lui. Il pense souvent à elle.

Sven avait par un quelconque miracle découvert ce qu’il lui était arrivé. Et les souvenirs refoulés étaient remontés. Quelle pitoyable excuse de parents vend leur fille ainée ? Il se sent sale, si sale, de partager le même sang qu’eux.

C’est sans doute pour cela qu’il éprouve à ce point le besoin de faire le bien autour de lui. Sur son dos, l’ombre inquiétante de ses parents. Un démon qu’il craint, qu’il évite. Il sent son souffle fétide sur sa nuque. Il a les mêmes gênes qu’eux. Lui aussi, il pourrait être capable de se laisser à de telles horreurs sous l’emprise des jeux et de l’alcool ?

Un frisson d’effroi glisse le long de sa colonne vertébrale à chaque fois qu’il y pense. Ce besoin écrasant de prouver qu’il n’est pas comme eux, qu’il ne le sera jamais. Ce besoin qu’il ne peut s’empêcher d’appeler hypocrite de tenter de rendre le monde meilleur, comme si cela pouvait nettoyer la souillure de leur nom, comme si cela pouvait ramener Hilda, il en a peur parfois. Et s’il ne faisait que se voiler la face ? A chaque pas qu’il fait dans la bonne direction, il ne peut que se rappeler d’où il vient.

Peut-être un jour estimera-t-il qu’il en aura fait assez que pour pardonner les actes de ses pairs.
2028GeysterAujourd’hui est un grand jour. Aujourd’hui, il a son entretien psychologique pour rejoindre les Spetsnaz. Il s’est préparé pour cet entretiens. Mais il n’y a pas de raison qu’il échoue, n’est-ce pas ? Après tout, il est hyper motivé et il n’a pas peur de mettre du cœur à l’ouvrage. Combattre les criminels, ça sonne comme une musique incroyable à ses oreilles. Une sorte de consécration divine, comme si tout ce qu’il n’avait jamais fait devait l’amener à ce moment précis.

Il sort de chez lui, non sans avoir demandé à Sven de vérifier trois fois son haleine, pour être sûr qu’elle soit assez mentholée. Aujourd’hui, une nouvelle page de sa vie se tourne ! Et avec l’argent qu’il se fera en plus, il pourra maintenir à flot le refuge qui bat de l’aile pour le moment. Ce nouveau statut pourrait solidifier son dossier pour une demande de prêt.

Il traverse la route, courant pour ne pas rater son bus. A force de s’assurer que tout était parfait, il en avait laissé passer le temps. Il n’a pas vraiment le temps de comprendre ce qu’il se passe. Une femme crie et il a la sensation de planer. Cela lui semble durer des heures avant qu’il ne percute violemment le goudron de la route et ne se cogne la tête.

Quand il ouvre les yeux, le bip bip d’une machine médicale lui vrille le crâne. Il est à l’hôpital, Sven est là, endormit à son chevet. Il s’est fait fauché par une voiture. Dans son malheur, il s’en sort plutôt bien. On lui expliquera plus tard qu’il a un bras fracturé, une jambe cassée et une commotion cérébrale. Cela aurait pu être mortel qu’on lui assurera.

Il ne fera pas le lien tout de suite mais quand il rentrera chez lui pour trouver une lettre de refus, il se rappellera de ce rendez-vous qu’il a raté.
2029OopsEn un instant, il a cru mourir. Alors qu’ils rentrent chez eux, il se contient encore un peu.Mais dès la porte fermée, il fait volte-face pour faire les gros yeux à Sven. Furieux, il l’engueule. Mais c’est quoi ces conneries ? Pourquoi ils se sont retrouvés sur la même mission, tous les deux ?! Qu’est-ce que Sven foutait là ? Cette soirée fut agitée. Þjalfi pleura… beaucoup. Il est en colère, il est inquiet. Que lui aille se mettre en danger pour ses rêves, ça le regarde. Mais quand son petit frère lui dit que lorsqu’il a découvert le pot-au-rose quant à ses activités illicites, il lui avait paru logique de lui rejoindre parce que, je cite « si je ne suis pas là pour te surveiller, tu vas finir par te tuer pour de bon » … ! Colère, peur, culpabilité… Tant de choses qui se mélangent, qui frappent, qui mordent directement son cœur. Mais ils sont tous les deux engagés maintenant. Il n’y a plus de retour arrière possible. Gout amer en fond de gorge que celui de la réalisation qui le frappe en pleine face ce soir-là.

L’ombre de leurs parents les ont finalement rattrapés.


Code:
<prezimg><img src="https://i.imgur.com/RPgG6Ks.png" /></prezimg><prez class="geyster"><prez-civ><civimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/qzU7weG.png"><civover></civover></civimg><civinfo><civname><!--
-->Þjalfi Gunnarsson</civname><civage><!--
-->28 ans</civage><civgenre><!--
-->Masculin</civgenre><civorigine><!--
-->Suédois</civorigine><civsex><!--
-->Pansexuel</civsex><civjob><!--
-->Gérant d'un refuge pour animaux</civjob></civinfo></prez-civ><prez-profil><profimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/E42zSk7.png"><profover></profover></profimg><profinfo><profname><!--
-->Yggdrasil</profname><profgroupe><!--
-->Geyster</profgroupe><profalign><!--
-->Le rebelle</profalign><profobj><!--
-->Faire rentrer de l'argent</profobj></profinfo></prez-profil><prez-psy><psyimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/viULcyf.png"><psyover></psyover></psyimg><psydesc><!--
-->Þjalfi est ce que l'on peut appeler dans le jargon, un <i>putain d'aimant à merdes</i>. Ca a toujours été le cas. Le gars a la poisse. S'il y a un trou dans le trottoir, il est fort probable qu'il tombe dedans. Au fil des années, cela lui a permit de se construire une certaine force de caractère. Qu'il glisse, dérape ou perde pour la 157ème fois consécutive à shifumi contre son petit frère, il le fait toujours avec le sourire. Cela s'applique aussi à sa vie amoureuse. Il ne sait trop comment, il se retrouve toujours collé aux pires cas qui finissent indéniablement par abuser de sa gentillesse infinie.

Parce que oui, <i>trop bon, trop con</i> c'est un peu son dicton dans la vie. Il aime aider les gens, ayant ces pulsions utopistes qu'il ramène toujours sur le plateau. De nombreuses fois, les gens ont prit avantage de cet aspect de lui. Certains le prennent pour un idiot de tomber systématiquement dans le panneau mais c'est ainsi qu'il est.

Cependant, après une discussion approfondie avec son petit frère, Sven, il a, depuis quelques années changé ce dicton pour un autre, un peu plus coloré. <i>Que tu essayes de m'enfoncer un parapluie dans le cul, pourquoi pas... mais que tu essayes de l'ouvrir, c'est autre chose.</i>

Depuis il se fait plus ferme, plus solide. Il pardonne moins et se montre plus méfiant. Il reste cependant fidèle à sa réelle nature mais il fait ce réel effort sur lui même. Le suédois n'est cependant pas qu'un utopiste malchanceux, il a bien d'autres facettes.

Sa loyauté est à toutes épreuves. Une fois qu'il s'implique dans quelque chose, il ne le fait jamais à moitié. A vrai dire, il ne sait pas comment ne pas s'impliquer à fond dans quelque chose (vous devriez voir l'état de l'appartement quand il se décide à faire le ménage, Marie Kondō n'a qu'à bien se tenir).

Cela fait de lui un utopiste réellement engagé qui dédie sa vie à essayer de rendre ce monde flingué un peu moins pire que lorsqu'il a posé le pied sur Terre. Les chemins qu'il prend ne sont pas toujours les bons, mais il les empruntes toujours avec les meilleurs intentions.

Au moins, il essaye.</psydesc></prez-psy><prez-look><lookimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/HGOVbEj.png"><lookover></lookover></lookimg><lookdesc><!--
-->Ne dit-on pas que les nordiques sont des géants ? Peut-être est-ce une vérité après tout. Du haut de son mètre nonante-quatre, sa tête dépasse souvent des foules. Ne lui demandez pas quelle est la température là haut, c'est une blague qui ne le fait plus trop rire depuis un moment maintenant.

Ses yeux bleus frise le stérotype une fois additionné à ses cheveux d'un blond presque platine et sa carrure de casi-bucheron. Il faut dire qu'il entretiens son physique, le gars. De part sa poisse légendaire, on le retrouve souvent avec un sparadrap sur la truffe, un bandage au poignet ou une quelconque atelle. Franchement, ça n'étonne même plus son entourage qui, souvent, ne s'enquière même pas de savoir ce qu'il y a bien pu lui arriver.

Il possède quelques cicatrices parsemées sur ses bras. Il a une histoire pour chacune d'entre elle. Et chaque histoire amène son lot de fou rire dans l'audiance en général. Pour n'en citer qu'une seule, la petite cicatrice qu'il a au coeur de la paume gauche, il se l'est faite en ouvrant une bouteille en plastique. Allez-y, riez, vous avez le droit. Il n'y a que Þjalfi pour se couper sur un bouchon en plastique de toute manière.

Il maintiens des cheveux courts pour des raisons pratiques... mais surtout parce que la fois où il ne s'en était pas bien occupé par manque de temps,... Disons qu'il â effacé toutes les photos de cette sombre époque. Quand Sven veut le taquiner, il ressort un vieux cliché imprimé de cette époque maudite. Pourquoi aime-t-il encore autant son petit frère, d'ailleurs ?

Il a le pied léger et sait utiliser sa carrure pour se montrer plus imposant qu'il ne l'est réellement. (un peu comme à la manière des chats qui font le gros dos pour paraitre plus dangereux, vous voyez ?)

Jamais vous ne verrez un poil de barbe sur son menton. Il aurait espérer que ses originies nordique lui permette de faire pousser l'une de ces sublimes barbes qu'il envie mais non... Il semblerait qu'il soit définitivement imberbe. Monde cruel!</lookdesc></prez-look><prez-story><storimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/BhNsmsG.png"><storover></storover></storimg><stordesc><!--
--><timeline><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">1999</a><timetxt><timetitle><!--
-->Hilda</timetitle><timedescri><!--
-->Elle était médecin, il était avocat. Un amour de jeunesse chaotique auquel ils ne pouvaient s’empêcher de gouter continuellement, jouant le jeu des séparations et des réconciliations sous la couette. Un mauvais départ dans la vie que celui-là pour le poupon qui ouvre les yeux en cette froide nuit de décembre. Hilda pousse ses premiers cris alors que l’air remplit brutalement ses poumons. Elle pleure déjà, l’enfant. Elle a raison. La bague au doigt de sa mère épuisée n’est qu’un apparat de bienséance, une obligation pour ne pas perdre la face devant ses grands-parents.
Il n’y a jamais eu d’amour dans ce mariage.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2003</a><timetxt><timetitle><!--
-->Þjalfi</timetitle><timedescri><!--
-->Ils ont cru qu’ils pouvaient faire fonctionner les choses, que tout irait bien. Hilda avait resserré leur couple, n’est-ce pas ? L’annonce de la grossesse avait à nouveau déchiré le couple. Son père ne fut pas là quand le nouveau-né vit le jour. La réconciliation se fera… mais plus tard… quand l’époux indigne rentrera enfin chez lui, deux semaines plus tard et, trainant derrière lui le parfum d’une autre femme.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2007</a><timetxt><timetitle><!--
-->Sven</timetitle><timedescri><!--
-->Le foyer semble stabilisé… Si seulement elle n’était pas tombée enceinte à nouveau. L’addiction est là. Malgré les salaires solides qui rentrent tous les mois, les soirées sont animées des lumières clignotantes des machines à sous et de leur brouhaha. Elle est en pleine partie de poker quand les contractions la saisissent. Il n’est pas là, trop occupé avec ses paris sportifs. Elle accouche seule, une fois encore.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2013</a><timetxt><timetitle><!--
-->Disparition</timetitle><timedescri><!--
-->Un bruit réveille l’enfant. Sa tête lui semble lourde. Tête blonde innocente ne pouvant comprendre la sensation lourde du médicament sensé le faire dormir d’un sommeil de plomb. Mais quelque chose se passe dans la maison. Ce n’est pas normal. Il descend de son lit. Il peine à rejoindre la porte du couloir qu’il entrouvre. La lumière l’éblouit un instant et il reste là. Ses parents parlent. Sa maman est triste.

Pourquoi maman est-elle triste ? Il s’interroge, il ne comprend pas. Il sent que quelque chose ne va pas. Du haut du palier, il voit sa sœur, endormie, les poings et chevilles liées. Elle est dans les bras d’un homme qu’il ne connait pas. L’enfant se frotte les yeux. Papa crie. Quand il fait ça, il préfère garder profil bas. Il retourne donc dans son lit. Il ferme la porte le plus silencieusement possible et grimpe dans les draps qui lui semblent si froid.

L’enfant tremblera pendant plusieurs heures alors que, en bas, ses parents s’appliqueront à simuler un kidnapping. Ils cassent, ils brisent, il défonce la porte d’entrée alors qu’elle va cacher l’argent sale de la vente dans un endroit sûr. Personne ne doit savoir pour leurs dettes. Personne ne doit savoir qu’ils ont vendu leur fille ainée.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2020</a><timetxt><timetitle><!--
-->Justice</timetitle><timedescri><!--
-->Richesse déchue et tentative de s’en cacher ne font jamais bon ménage. En un souffle, tout peut s’arrêter en un rien de temps. Il était si jeune quand il a vu ses parents se faire passer les menottes. L’incompréhension l’écrase. La peur aussi. Et puis, on finit par lui expliquer. Après tout, il est presque majeur. Il a le droit de savoir, il a le droit de comprendre.

Fraudes, arnaques. Difficile de maintenir son train de vie quand on n’a été licencié. Difficile d’être chirurgien quand sa dextre tremble du manque d’alcool. Attendez… Sa mère avait été licenciée ? Il ne le savait pas. Combien de temps ? Oh. Fraudes, arnaques, voilà comment ils ont pu maintenir leur rythme de vie, se promettant de gagner le gros lot à une quelconque machine à sous.

Le procès n’est qu’une formalité à ce stade. Les preuves sont accablantes et l’opinion publique tranchée. Ils vont en prison, laissant Þjalfi et Sven seuls. Les regards se tournent ensuite vers eux. Que faire d’eux maintenant ?</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2020</a><timetxt><timetitle><!--
-->Tuteur</timetitle><timedescri><!--
-->Cela fait des mois que ça dure. Des mois qu’il se bat. Il n’est pas encore majeur. D’ici peu, il le sera. Mais en attendant, il lui est difficile de faire valoir son droit de tuteur sur son petit frère. L’argent manque. Il doit prouver qu’il est assez stable que pour prendre soin de Sven. Il bosse comme serveur dans un restaurant. Il fait des économies en mangeant gratuitement sur place à la fin de son service. Il travaille dur. Finalement, le verdict fini par tomber. Il obtient la garde de Sven.

Ils ne seront pas séparés.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2028</a><timetxt><timetitle><!--
-->Études</timetitle><timedescri><!--
-->Pas de diplôme, pas de qualification. Cela lui semble faire une éternité qu’il enchaine les jobs, en prenant parfois deux en même temps. Il touche à tout, faisant souvent les métiers les plus ingrats dont personne ne voulait réellement. C’était de venu une habitude de trimer autant. Parce que ça permettait à son petit frère de poursuivre sa licence.

Une licence abandonnée en cours de route. Cela n’étonne pas Þjalfi. En fait, il est juste fier qu’il ait été aussi loin. Peut-être, bientôt, il ne sera plus le seul à ramener un salaire à la maison. L’idée soulage déjà ses mains calleuses et ses épaules qui semblent tendues depuis près de huit ans maintenant. Ils vont bientôt pouvoir vivre comme une famille normale.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2028</a><timetxt><timetitle><!--
-->Refuge</timetitle><timedescri><!--
-->Enfin, il peut réaliser son rêve. C’est un gros projet mais cela fait tant d’années qu’il économise pour ça. Il n’attendait qu’une chose, que Sven aide avec les revenus du ménage pour se lancer dans sa folle aventure. Il observe les locaux autour de lui. Parfois, il se demande si sa grande sœur serait fière de lui. Il pense souvent à elle.

Sven avait par un quelconque miracle découvert ce qu’il lui était arrivé. Et les souvenirs refoulés étaient remontés. Quelle pitoyable excuse de parents vend leur fille ainée ? Il se sent sale, si sale, de partager le même sang qu’eux.

C’est sans doute pour cela qu’il éprouve à ce point le besoin de faire le bien autour de lui. Sur son dos, l’ombre inquiétante de ses parents. Un démon qu’il craint, qu’il évite. Il sent son souffle fétide sur sa nuque. Il a les mêmes gênes qu’eux. Lui aussi, il pourrait être capable de se laisser à de telles horreurs sous l’emprise des jeux et de l’alcool ?

Un frisson d’effroi glisse le long de sa colonne vertébrale à chaque fois qu’il y pense. Ce besoin écrasant de prouver qu’il n’est pas comme eux, qu’il ne le sera jamais. Ce besoin qu’il ne peut s’empêcher d’appeler hypocrite de tenter de rendre le monde meilleur, comme si cela pouvait nettoyer la souillure de leur nom, comme si cela pouvait ramener Hilda, il en a peur parfois. Et s’il ne faisait que se voiler la face ? A chaque pas qu’il fait dans la bonne direction, il ne peut que se rappeler d’où il vient.

Peut-être un jour estimera-t-il qu’il en aura fait assez que pour pardonner les actes de ses pairs.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2028</a><timetxt><timetitle><!--
-->Geyster</timetitle><timedescri><!--
-->Aujourd’hui est un grand jour. Aujourd’hui, il a son entretien psychologique pour rejoindre les Spetsnaz. Il s’est préparé pour cet entretiens. Mais il n’y a pas de raison qu’il échoue, n’est-ce pas ? Après tout, il est hyper motivé et il n’a pas peur de mettre du cœur à l’ouvrage. Combattre les criminels, ça sonne comme une musique incroyable à ses oreilles. Une sorte de consécration divine, comme si tout ce qu’il n’avait jamais fait devait l’amener à ce moment précis.

Il sort de chez lui, non sans avoir demandé à Sven de vérifier trois fois son haleine, pour être sûr qu’elle soit assez mentholée. Aujourd’hui, une nouvelle page de sa vie se tourne ! Et avec l’argent qu’il se fera en plus, il pourra maintenir à flot le refuge qui bat de l’aile pour le moment. Ce nouveau statut pourrait solidifier son dossier pour une demande de prêt.

Il traverse la route, courant pour ne pas rater son bus. A force de s’assurer que tout était parfait, il en avait laissé passer le temps. Il n’a pas vraiment le temps de comprendre ce qu’il se passe. Une femme crie et il a la sensation de planer. Cela lui semble durer des heures avant qu’il ne percute violemment le goudron de la route et ne se cogne la tête.

Quand il ouvre les yeux, le bip bip d’une machine médicale lui vrille le crâne. Il est à l’hôpital, Sven est là, endormit à son chevet. Il s’est fait fauché par une voiture. Dans son malheur, il s’en sort plutôt bien. On lui expliquera plus tard qu’il a un bras fracturé, une jambe cassée et une commotion cérébrale. Cela aurait pu être mortel qu’on lui assurera.

Il ne fera pas le lien tout de suite mais quand il rentrera chez lui pour trouver une lettre de refus, il se rappellera de ce rendez-vous qu’il a raté.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">2029</a><timetxt><timetitle><!--
-->Oops</timetitle><timedescri><!--
-->En un instant, il a cru mourir. Alors qu’ils rentrent chez eux, il se contient encore un peu.Mais dès la porte fermée, il fait volte-face pour faire les gros yeux à Sven. Furieux, il l’engueule. Mais c’est quoi ces conneries ? Pourquoi ils se sont retrouvés sur la même mission, tous les deux ?! Qu’est-ce que Sven foutait là ? Cette soirée fut agitée. Þjalfi pleura… beaucoup. Il est en colère, il est inquiet. Que lui aille se mettre en danger pour ses rêves, ça le regarde. Mais quand son petit frère lui dit que lorsqu’il a découvert le pot-au-rose quant à ses activités illicites, il lui avait paru logique de lui rejoindre parce que, je cite « si je ne suis pas là pour te surveiller, tu vas finir par te tuer pour de bon » … ! Colère, peur, culpabilité… Tant de choses qui se mélangent, qui frappent, qui mordent directement son cœur. Mais ils sont tous les deux engagés maintenant. Il n’y a plus de retour arrière possible. Gout amer en fond de gorge que celui de la réalisation qui le frappe en pleine face ce soir-là.

L’ombre de leurs parents les ont finalement rattrapés.</timedescri></timetxt></timevent><!--

--></timeline></stordesc></prez-story></prez>
admin
admin
Admin
Date d'inscription : 28/07/2021
Messages : 104
Offshore : 15580
https://crimenettest.forumactif.com
Ísfríðr Jørgensen21 ansFémininMétisse de nationalité norvégienneEn plein questionnementIngénieure propulsionNebulaLyudiL'esprit libreApprendre ce qui est réellement arrivé à sa mère et la vengerÍsfríðr fait partie de ces gens qui se sont tellement concentrés sur leurs études qu’ils en ont parfois oublié de s’épanouir socialement. Elle n’est pas timide, elle n’est pas misanthrope, elle est juste passionnée. Elle a passé son adolescence dans les bouquins là où les autres filles parlaient garçons et histoire de coucherie. Elle ne l’a jamais ressenti comme un manque mais aujourd’hui, alors qu’elle est enfin diplômée et employée, elle se rend compte de son immense maladresse sociale.

Elle met les pieds dans le plat sans s’en rendre compte, enchainant les situations gênantes, ayant finit par se peindre le portrait d’une originale déphasée du vrai monde. Parfois, elle s’en veut d’avoir l’équilibre émotionnel d’une adolescente, de ne pas être capable de faire face à autant qu’elle le souhaiterait.

Mais, la vérité, c’est qu’elle flirt avec l’hédonisme depuis quelques temps déjà. Elle va au plus simple et à ce qui lui donne le plus de bonheur, le plus de plaisir. Jusqu’à son embauche en tant qu’ingénieure propulsion, c’était étudier, en apprendre encore et toujours plus sur la physique, la mécanique, l’aérospatial.

Sa mère avait l’habitude de lui dire, petite, qu’elle était tout le temps dans la Lune… Et de là est né le rêve d’un enfant de devenir astronaute… ce qui avait amené à une passion pour l’ingénierie spatiale. Elle pourrait parler des étoiles pendant des heures, et encore plus longtemps des fusées qui ont pu être envoyées par le passé.

Au milieu de tout cela, elle a une personnalité flamboyante, du genre à ne pas passer inaperçue. Elle est franche tant que cela ne concerne pas des émotions trop fortes. Là, c’est plus son incapacité à gérer réellement ses émotions qui prends les devant, amenant le plus souvent à un chaos sans nom.

Elle a pour habitude de surnommer tous les gens qu’elle croise. Cela lui donne la sensation de maîtriser un peu la conversation là où elle a un réel manque social qu’elle apprend à rattraper. Une fois pleinement développée, elle pourrait être un vrai papillon social mais pour le moment on est plus proche de l’araignée que de la chrysalide.
Si sa peau caramel fait parfois tache dans le paysage norvégien, elle doit cet héritage à sa mère. Cette dernière, issue d’un mariage malgache et norvégien avait hérité de la peau sombre de son père. Une peau qui a été mélangée une seconde fois alors que Ripley a partagé une étreinte de trop avec Yorick, offrant à la jeune femme cette teinte chaude qui lui plait tant.

Ses cheveux bruns, elle les porte courts, trouvant cela plus pratique sur bien des aspects. Ils sont souvent en pagaille, étant naturellement du genre plutôt volumineux. Depuis peu, ses oreilles se sont changées en vrai oreilles de chats, pointues, poilues, noires de fourrure et à l’intérieur chair. Un changement qui, finalement, n’est pas pour lui déplaire.

Il n’est pas rare de la voir se balader avec des cheveux longs. Non, ils n’ont pas poussé dans la nuit, mais de temps en temps, lorsqu’elle est en vacance, par exemple, elle se laisse tentée par quelques extensions qui lui créent une vraie crinière. Comme quoi, les oreilles de chat, ça tombe plutôt bien.

Elle n’est pas bien grande, ne dépassant pas le mètre soixante-trois. Elle s’exercice souvent mais son corps reste svelte et presque maigre, refusant de prendre la masse musculaire qu’elle rêverait d’avoir. Cela n’empêche pas des muscles fins mais puissants de se dessiner sous sa peau, résultat de longues heures à trifouiller des moteurs et à bricoler dans son atelier lors de son temps libre.

Ce qui avait à la base été un gage pour avoir perdue un pari s’est transformée en vrai passion pour la brune, une fois son premier tatouage posé. C’est ainsi qu’elle s’est retrouvée avec les bras marqués. Trois marques brune horizontales sur ses deltoïdes et deux sur le haut de chaque avant-bras. Elles sont un peu comme des griffes de chats et, franchement, elle manquait d’inspiration pour ses tatouages et a donc continué d’utiliser ce pattern qu’elle s’était fait poser lors de sa première fois.

Là où les choses se sont corsées, c’est quand elle a décidé de tatouer ses yeux. Un tatouage peu fréquent mais c’était la spécialité de son tatoueur et elle avait toujours voulu essayer. C’est ainsi qu’elle finit avec un œil complètement bleu et l’autre complètement jaune. Elle les voulait tous les deux complètement rose à la base mais après avoir vu les photos du book de son tatoueur, elle avait changé d’avis à la dernière minute.

Ce regard hors norme se trouve souligné de quelques tâches de rousseurs et surlignés de fin sourcils sombres. Sa poitrine est présente, bien que subtile. Cela ne l’a jamais vraiment dérangée, elle est même plutôt contente d’avoir un buste de cette taille, elle trouve ça bien plus gérable. Ses ongles se sont fait griffes sombres et, au-dessus de ses fesses traine maintenant une queue de chat qui réagit à ses émotions, ce qui, il faut l’avouer, est parfois un peu agaçant.
2010Les yeux de son pèreUn sourire doux aux lèvres, Ripley observe le poupon dans ses bras. C’est un drôle de sentiment que celui de se dire qu’on est mère, ce que ce petit être a désormais besoin de nous pour avancer dans la vie et pour survivre, peut-être même devenir une personne exceptionnelle. Alors qu’elle détaille sa fille, elle ne peut que penser à son père. Grande inspiration. Il ne doit pas savoir. C’est mieux s’il ne sait pas. Mieux pour elle, pour sa fille et pour lui.2020Le carnet de contactsElle est une grande fille maintenant. Sa maman lui parle de plus de choses… Mais toujours pas de ses anciennes activités. Mais il y a ce petit calepin qu’elle lui a donné. Il est orange pâle et des dessins enfantins de chats recouvre la couverture faite d’un plastique qui voudrait imiter du cuir. Dans ce calepin, il y a des noms, des numéros. Des gens qu’elle doit contacter si jamais il devait arriver quelque chose. Quel est ce « quelque chose » ? L’enfant n’en sait rien. Mais elle sait juste qu’il n’y a qu’un seul numéro qui a été raturé dans son cahier, c’est celui d’un certain « Y. ».2025Le harcèlement scolaireIl est difficile de s’intégrer à l’école quand on voyage autant qu’elle. Il n’y a que peu de personnes avec lesquelles elle a gardé contact et à qui elle continue d’écrire. Mais c’est encore plus difficile lorsqu’on a sauté plusieurs classes.

Elle ne s’est jamais sentie comme un génie ou quoi que ce soit du genre. Elle y a juste cette passion qui est née en elle. Là où les jeunes de son âge veulent aller à Paris, à Tokyo ou à Venise, elle, son rêve, c’est de découvrir l’Espace. La Terre, elle connait, elle se donne la sensation d’en avoir fait le tour, même.

Au début, elle clame haut et fort qu’elle veut être astronaute… Mais cela ne passe pas avec ses camarades de classes. Moquée, insultée, maltraitée, elle fait son possible pour cacher le harcèlement dont elle est victime à sa mère. Elle s’enferme davantage dans les bibliothèques des établissements où elle étudie, s’enfermant de plus en plus dans son monde d’études, poursuivant son rêve, s’y accrochant pour oublier la manière dont ses camarades de classes.
2031La vie professionnelleLorsqu’on lui avait remis son diplôme, elle savait déjà qu’elle n’allait pas devoir chercher de travail. Une place l’attend là où elle a fait ses stages. Et, même si cela n’avait pas été le cas, elle est la plus jeune de sa promotion. Elle n’en est pas major, mais elle n’a pas à rougir de ses notes. D’ici quelques semaines, elle sera ingénieure propulsion. Un métier qui fait bien plus de sens qu’astronaute aux yeux de la brune qui n’a pas envie d’être séparée trop longtemps de sa mère.2031Le KemonomimiPourquoi a-t-il fallut que ça tombe sur elle ?! Bien sûr, elle avait entendu parlé du Kemonomimi mais jamais elle n’aurait cru qu’elle aurait pu être touchée. Ce genre de choses ça n’arrivent qu’aux autres normalement, non ? Mais la vie doit continuer. Ainsi, c’est censé être son premier jour de travail depuis l’apparition de… ses symptômes.

Elle a enfoui ses oreilles sous un gros bonnet, fourré sa queue dans son pantalon et mit des lunettes de soleil pour cacher le changement de ses pupilles. Elle n’a plus la possibilité de télétravailler. Ça aurait été plus simple si elle avait pu continuer de cacher sa condition à ses collègues. Elle ne veut pas avoir l’air d’une pestiférée… et encore moins être traitée de « mignon petit chat ».
2031La perte d'un pilierComme si la situation ne pouvait pas être plus délicate… sa mère est décédée du jour au lendemain. Comme ça, pouf, sans crier gare. Une perte qui détruit Ís. Soudainement, le Komonomimi n’a plus aucune importance. Il n’y a plus que cet immense gouffre qui s’est ouvert sous ses pieds. Ça et la lourde charge d’organiser les funérailles seule.

C’est là qu’elle retrouve son carnet orange, là où tous les numéros sont écrits. Elle doute qu’il y en ai encore beaucoup de fonctionnels mais cela ne l’empêche pas de tous les tester, un a un, pour mettre tout le monde au courant. Ripley est décédée. On ne sait pas de quoi. L’autopsie n’a rien relevé d’anormal. Tel un disque rayé, elle répète, encore et encore la chose de sa voix brisée. Lorsque, finalement, elle arrive au fameux Y., elle hésite. Finalement, elle prend le temps d’identifier le numéro sous les ratures et compose le numéro. Ce ou cette Y. a le droit de savoir, après tout, non ?
admin
admin
Admin
Date d'inscription : 28/07/2021
Messages : 104
Offshore : 15580
https://crimenettest.forumactif.com
Prénom NomAge iciGenre iciOrigines iciOrientation sexuelle iciMétier iciPseudo du personnageGeyster/Spetsnaz/Vrach/LyudiAlignement iciObjectifs iciDescription psychologique (150 mots minimum)Description physique (150mots min)dateTitreDescriptiondateTitreDescriptiondateTitreDescription

Code:
<prezimg><img src="https://i.imgur.com/dltkJI3.png" /></prezimg><prez class="geyster"><prez-civ><civimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/SEYImW5.png"></civimg><civinfo><civname><!--
-->Prénom Nom</civname><civage><!--
-->Age ici</civage><civgenre><!--
-->Genre ici</civgenre><civorigine><!--
-->Origines ici</civorigine><civsex><!--
-->Orientation sexuelle ici</civsex><civjob><!--
-->Métier ici</civjob></civinfo></prez-civ><prez-profil><profimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/G5Kcvn7.png"></profimg><profinfo><profname><!--
-->Pseudo du personnage</profname><profgroupe><!--
-->Geyster/Spetsnaz/Vrach/Lyudi</profgroupe><profalign><!--
-->Alignement ici</profalign><profobj><!--
-->Objectifs ici</profobj></profinfo></prez-profil><prez-psy><psyimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/rIUSaq1.png"></psyimg><psydesc><!--
-->Description psychologique (150 mots minimum)</psydesc></prez-psy><prez-look><lookimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/HPlhZSR.png"></lookimg><lookdesc><!--
-->Description physique (150mots min)</lookdesc></prez-look><prez-story><storimg><!--

--><img src="https://i.imgur.com/3gfsUvy.png"></storimg><stordesc><!--
--><!--
--><timeline><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">date</a><timetxt><timetitle><!--
-->Titre</timetitle><timedescri><!--
-->Description</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">date</a><timetxt><timetitle><!--
-->Titre</timetitle><timedescri><!--
-->Description</timedescri></timetxt></timevent><!--

--><timevent><!--
--><a href="#">date</a><timetxt><timetitle><!--
-->Titre</timetitle><timedescri><!--
-->Description</timedescri></timetxt></timevent><!--
   
--></timeline></stordesc></prez-story></prez>
Contenu sponsorisé